Search This Blog

Friday 25 March 2011

أمّي

أنتِ كملاكٍ يضيئ سماء أحلامي،                                          
                                           أنتِ كثلجٍ يلعبُ عليه أولادي.    
أنتِ كشلّالٍ يُنعشُ غرفة إلهامي.                                            
                                           أنتِ، قلبٌ يضخُّ الأمل في كياني،
إن توقّفَ توقّفت معه حياتي...                                             
                                           أنتِ كورقة خضراء لا تذبل،    
أشكر ربّي لأنّها تعلّقت على شجرة عائلتي.                                
                                           انّما أنا على خطأ،              
فأنا الورقة، و أنت الشجرة الّتي حملتني                                   


















Saturday 19 March 2011

سلسبيل

الأستاذ: ما معنى سبيل؟
التلميذ: طريق
الأستاذ: وسلسبيل؟
التلميذ: طرطريق

Thursday 17 March 2011

اطلانتس" المفقودة وجدت"

بعد أيام قليلة على أكبر كارثة طبيعية يشهدها العالم مباشرة على القنوات التلفزيونية، أي الهزة الأرضية التي ضربت مدينة سينداي اليابانية وما تبعها من موجات مد "تسونامي" عاتية، دمرت أنحاء من المنطقة المحيطة بالمدينة، أكد بعض العلماء إن لديهم دليلا قوياً على موقع "مدينة أتلانتيس المفقودة" التي تعرضت لدمار بعد موجات مد عاتية ضربتها قبل آلاف السنين.
وتاريخياً، كان الاعتقاد السائد هو أن هذه المدينة، التي كانت توصف سابقاً بأنها قارة، توجد في وسط المحيط الأطلسي.
على أن الموقع الجديد المقترح هو أن "أتلانتيس" هذه هي عبارة عن مدينة كانت توجد على بعد 60 ميلاً من مدينة قادش الإسبانية، وتحديداً في المنطقة المستنقعية المعروفة باسم "دونا آنا بارك"، إلى الشمال من تلك المدينة.
وتم الكشف عن المدينة المفقودة في حلقة خاصة على قناة "ديسكفري" التلفزيونية عرضت مساء الأحد.
وتعود مدينة أتلانتس إلى زمن الفيلسوف اليوناني بلوتو، الذي وصف الجزيرة بأنها أكبر من ليبيا وآسيا معاً وذلك في العام 360 قبل الميلاد.
وكتب بلوتو يقول: في يوم واحد بليلته، اختفت أتلانتس في اعماق البحر، مشيراً إلى زلزال وطوفان قبل 9000 عام بأنهما السبب وراء دمار المدينة.

Wednesday 16 March 2011

كتابات والدي

البعض يريد ان يفتخر باللغة العربية الفصحى فيقول متبجحا انها "لغة صعبة"، معتبرا ان الصعوبة ميزة لا نقيصة
العربية ليست صعبة.
.والصعوبة ليست فضيلة
.العربية كغيرها من اللغات، الصعوبة في النحو المكتوب ، والنحو المكتوب كائن من صنع الناس

c'est une recherche que j'ai faite sur les émirats arabes unis


Émirats arabes unis
1
PRÉSENTATION
Émirats arabes unis, en arabe Al Imārāt, pays du Proche-Orient situé sur la côte orientale de la péninsule Arabique. Sa capitale est Abou Dabi.
Les Émirats arabes sont une fédération de sept émirats (Abou Dabi, Dubaï, Sharjah, Ajman, Umm al-Qaïwain, Fujaïrah et Ras al-Khaïmah). Leur territoire est délimité au nord par le Qatar et le golfe Arabo-Persique, à l’est par le golfe d’Oman et l’État du même nom, au sud et à l’ouest par l’Arabie saoudite.
Abou Dabi, l’émirat le plus important tant par son étendue que par ses ressources financières, est le siège de la fédération, constituée en 1971 par six émirats, les « États de la Trêve » (Trucial States), auxquels est venu s’ajouter, en 1972, celui de Ras al-Kaïmah. La ville d’Abou Dabi, capitale du pays, abrite le gouvernement fédéral et met en œuvre la politique extérieure, la défense et l’enseignement des sept émirats.
Les Émirats arabes unis constituent l’une des zones les plus riches du monde, possédant le plus haut revenu par habitant. Leur économie repose tout entière sur l’exploitation des hydrocarbures.
2
LE PAYS ET SES RESSOURCES
Le pays s’étend d’une part sur 1 450 km de côtes dans le golfe Arabo-Persique (à l’exception de Fujaïrah), et d’autre part sur 80 km de côtes dans le golfe d’Oman. La superficie des Émirats arabes unis est de 83 600 km² et se répartit inégalement suivant les États : Abou Dabi, avec 67 600 km2, est cinq fois plus étendu que les six autres émirats réunis. Dubaï, le deuxième émirat en taille, ne compte que 3 840 km2, tandis que le plus petit, Ajman, ne s’étend que sur 250 km2.
Le pays est désertique et montagneux, et n'offre par conséquent que de très faibles possibilités pour l’agriculture, à l’exception notable de Ras al-Khaïmah. Adossé à la chaîne montagneuse omanaise de l’al-Hajjar (littéralement « la pierre »), cet émirat reçoit des précipitations assez importantes qui permettent la pratique de l’élevage et la culture de légumes et de fruits, dattes et mangues notamment.
La population se concentre dans les villes côtières ou dans les oasis à l’intérieur des terres. Elle vit traditionnellement de la culture des dattes, de la pêche perlière et de l’élevage des chameaux. Toutefois, ce mode de vie a été bouleversé par la mise en exploitation des champs pétrolifères.
En 1962, à Abou Dabi, avec vingt ans de retard sur l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ont commencé à exploiter les gisements de pétrole et se sont hissés, en 1996, au rang de dixième producteur de pétrole parmi les pays exportateurs ; leurs réserves de gaz naturel (voir gaz combustibles) s’avèrent par ailleurs considérables (9 p. 100 des réserves mondiales).
3
POPULATION ET SOCIÉTÉ
La population de la fédération était estimée, en 2008, à 4 621 399 habitants, soit une densité de 55 habitants au km2. Son rythme d’accroissement annuel est de 2,7 p. 100 depuis le début des années 1990. Cette progression vertigineuse, qui a commencé en 1970, est principalement due à l’immigration et, dans une moindre mesure, à la chute sensible de la mortalité infantile (13 p. 1 000). 80 p. 100 des habitants sont des travailleurs étrangers originaires, pour un tiers d’entre eux, de pays arabes — Égypte, Palestine, Jordanie, Irak ou Yémen —, de pays du golfe Persique — Iran — ou d’États du continent indien — Inde et Pakistan — et pour les deux autres tiers d’Asie du Sud-Est. La population urbaine dans les Émirats représente 86 p. 100 de la population totale. Plus de 95 p. 100 de la population est musulmane sunnite de rite kharijite, le reste de la population étant chiite. Les langues parlées sont l’arabe, langue officielle, et l’anglais.
Chaque émirat est gouverné par un émir dont le pouvoir est héréditaire et absolu. Les sept émirs forment le Conseil suprême, qui constitue la plus haute instance du gouvernement fédéral. Le Conseil procède à l’élection d’un président et d’un vice-président parmi ses membres. La présidence est détenue à partir de 1971 par le cheikh Zayed Ben Sultan el-Nahaïan, émir d’Abou Dabi, constamment réélu. À sa mort en 2004, son fils le cheikh Khalifa Ben Sultan el-Nahaïan lui succède à la tête de l’émirat d’Abou Dabi et de la fédération.
4
ÉCONOMIE
Les revenus du pétrole et du gaz naturel représentent la quasi-totalité du produit national brut (PNB) des Émirats, estimé en 2004 à 103 milliards de dollars. La faible population permet d'obtenir l'un des revenus par habitant les plus élevés au monde : environ 23 950 dollars. La dette extérieure représente plus d’un quart du PIB. Malgré la baisse des prix des hydrocarbures, un budget fédéral constant traduit la volonté du chef de l’État de tenir compte, de façon accrue, des attentes économiques et sociales de la population.
Les États de la fédération ont en grande majorité accordé des concessions à des sociétés privées pour la prospection de pétrole sur leur sol, toutefois, seuls Abou Dabi, Dubaï et, dans une moindre mesure, Sharjah, possèdent des réserves véritablement importantes ; la principauté d’Abou Dabi produit 80 p. 100 du pétrole de la fédération et détient 94 p. 100 des réserves (dont l’exploitation pourrait durer 112 ans au niveau de la production actuelle).
Deuxième État de la fédération par la superficie, la population et les ressources financières, l’émirat de Dubaï constitue le principal centre commercial des Émirats, grâce à une activité portuaire particulièrement développée ; principal centre de transit des marchandises destinées aux pays de la région, Dubaï possède un important marché des changes, spécialisé dans les transactions d’or. De nombreuses expositions internationales sont organisées à Dubaï, qui met en œuvre une ambitieuse politique de développement et de modernisation de ses infrastructures. Dans la première moitié des années 2000, Dubaï lance de vastes projets liés aux nouvelles technologies (Internet, médias) et au tourisme (îles artificielles de Palm Islands). Dubaï bénéficie d’une zone franche, Jabal Ali, qui renforce son rôle de plaque tournante. Les cinq autres émirats, plus modestes, ne produisent pas de pétrole (à l’exception de Sharjah). La contribution économique qui leur est reversée, à hauteur de 50 p. 100 des recettes pétrolières de la fédération, leur permet cependant de mettre en œuvre d’importants projets d’infrastructures.
En 2002, la production de pétrole brut a été de 100,4 millions de tonnes et celle de gaz naturel de 43 milliards de m3. Les revenus pétroliers ont permis de financer la construction d’infrastructures importantes (chaque émirat possède au moins un aéroport), d’industries lourdes, tel le grand complexe industriel d’Ar-Ruwaïs, à l’ouest d’Abou Dabi, et de zones franches comme Jebel Ali à Dubaï.
Les Émirats sont membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). L’unité monétaire est le dirham (divisible en 100 fils), adopté en 1973 pour remplacer le riyal du Qatar et le dinar du Bahreïn, en usage jusqu’alors.
5
HISTOIRE

5.1
La fondation de la fédération
La fédération des Émirats arabes unis s’est formée en 1971. Ces États de la Côte de la Trêve sont sous le protectorat de l’Empire britannique au début du xixe siècle, en 1835, en vertu des traités personnels signés par chacun des sept cheikhs les gouvernant. Le Royaume-Uni, soucieux de préserver ses intérêts dans le golfe Persique et de protéger ses lignes de communication avec l’Inde, leur interdit de faire la guerre et, en 1853, la trêve navale devient perpétuelle.
Les émirats entrent véritablement dans l’histoire des relations internationales lorsque la question des frontières avec leur voisin du nord, l’Arabie Saoudite, alors sous protection américaine, est posée en 1933. La délimitation des frontières pose en effet le problème de la répartition des immenses réserves pétrolières progressivement mises au jour : le premier gisement de pétrole dans les Émirats est découvert en 1953, à Abou Dabi. Les sept cheikhs subissent alors, d’une part, les pressions des Britanniques les invitant à leur accorder des concessions, et font face, d’autre part, aux mutations d’une économie traditionnelle essentiellement fondée sur la culture perlière, entrée en crise dans les années 1930 du fait de la concurrence des perles japonaises. Ils restent ainsi associés à la Grande-Bretagne, tout en signant à Dubaï un premier traité d’association, en février 1968, avec Bahreïn et le Qatar. Ces deux pays choisissent finalement de faire cavalier seul et se retirent, laissant les sept émirats former en 1971 la fédération que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’Émirats arabes unis.
5.2
Hydrocarbures et relations internationales
Les revenus des hydrocarbures, en constante augmentation jusqu’à la moitié des années 1980, ont fait des Émirats l’un des pays les plus riches du monde, mais aussi l’un des plus convoités. Il reste, de ce fait, à la merci de conflits frontaliers, notamment avec l’Iran qui, en 1992, a annexé trois îles situées dans le détroit d’Ormuz, jusqu’ici coadministrées avec le Sharjah, et dans une moindre mesure avec l’Arabie Saoudite. En 1996, le chef du gouvernement des Émirats refuse ainsi de recevoir le Premier ministre iranien en raison de ce différend, tout en maintenant des relations économiques. Le pays a souvent recherché la protection d’États plus puissants, dans un cadre régional, en intégrant notamment, en 1981, le Conseil de coopération du Golfe, puis en signant des accords de défense et de coopération avec des puissances occidentales : la France, qui a vendu 436 chars Leclerc au gouvernement d’Abou Dabi en 1993, la Grande-Bretagne (accords de défense du 28 novembre 1996) et les États-Unis (achat de 80 avions F-16 en 1999). À partir de 1997, prenant ses distances avec les pays occidentaux, le cheikh Zayed, président de la Fédération, boycotte la Conférence économique pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord qui se tient en novembre 1997 et se déclare opposé aux frappes aériennes menées par les États-Unis contre l’Irak.
5.3
L’accession au pouvoir de cheick Khalifa
L'hotel Burj AlArab
Fêtant leurs trente ans d’existence en 2001, les Émirats arabes unis rompent leurs relations avec les talibans au lendemain des attentats du 11 septembre, mais doivent faire face aux accusations de Washington concernant leur rôle présumé dans le blanchiment de capitaux liés au terrorisme. Une loi antiblanchiment est promulguée en mai 2002. En septembre 2003, l’assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale se tient à Dubaï. À la mort du cheikh Zayed Ben Sultan el-Nahaïan en novembre 2004, son fils le cheikh Khalifa Ben Sultan el-Nahaïan lui succède à la tête de l’émirat d’Abou Dabi et de la fédération — il assurait de fait ces fonctions depuis plusieurs années en raison de l’état de santé de son père.

Tuesday 15 March 2011

Lost on an island

An English story : Lost on an Island .
On a sunny summer day, I went on a boat trip with some friends. Suddenly, the motor made some strange sounds. At this moment I lost consciousness.

I woke up when I found myself on a deserted island with nobody. My clock was the sun and my mirror was the sea. I ate some coconuts, bananas... And to still alive, I ate some strange animals' meat.

On my 31st day on this Island, I was discovering some new places, animals and plants. I made clothes with animals' fur. Suddenly, I saw an airport, a far airport.

The next day, I was on an airplane going back home. During the flight, the alarm went off. I was frightened.

Suddenly, I found myself in my room on my bed. Thanks God, I was dreaming!

END

Sadir ABDUL HADI

Le réveil d'une écriture


C’était le 18 Brumaire l’an VIII, lors du coup d’état de Napoléon Bonaparte. Jour après jour, les citoyens français distinguaient que ce jeune général voulait instaurer la dictature, car, peu de temps après son coup d’état, il s’était proclamé premier consul après avoir été Directeur.
Bonaparte rédigea le 22 Frimaire de la même année la constitution de l’an VIII, puis créa le Senat, qui était chargé de veiller au respect de la nouvelle constitution. Il aboutit aussi, le 11 Floréal l’an X, à la création du premier lycée, et fonda le ministère de l’instruction, en n’oubliant pas la multiplication des écoles primaires, et la restauration de 22 chambres de commerce durant cette période.
Napoléon Bonaparte commença à conduire l’armée pour conquérir le monde, et Jean-François Champollion était l’un de ses soldats.

« Non Jean ! Ne va pas avec lui ! Tu vas mourir ! » m’avait dit avec inquiétude maman quand je l’avais informée de mon choix de conquérir le monde avec le  premier Consul.  Elle prit du temps à comprendre la chance que j’avais d’arriver peut-être en Egypte : le pays des pharaons, de la civilisation du Nil éternel.Mais elle comprit enfin que c’était  une occasion unique dans la vie. Dès mon enfance, mon rêve était de voyager en Egypte, j’étais dévoré par la passion des langues, et j’en avais appris plusieurs : le Latin, l’Hébreu, et l’Arabe .Le jour suivant, j’étais dans le camp des soldats, en train de m’entrainer à la guerre avec des centaines de milliers de soldats.
La décision de Bonaparte avait été prise quelques mois après mon intégration dans l’armée : on allait recommencer la guerre avec une bataille contre les Autrichiens. Je participai successivement à douze guerres contre l’armée autrichienne avec onze victoires et une défaite dans la bataille de Caldiero. Nous étions vingt mille cinq cents soldats contre quarante mille soldats dans l’armée ennemie et nous avons moins de la moitié de la quantité de leurs canons. En conséquence, nous avons perdu non seulement la guerre, mais cinq mille soldats dont l’un était mon ami. Il disait toujours qu’il voulait revenir à la maison et revoir sa mère avant qu’elle ne meure, mais le destin avait choisi son décès. Je sentis que j’allais suivre mon ami et que je ne savais pas où aller. Après la Victoire de Malte, nous nous dirigeâmes en navire vers l’Egypte, et pendant que nous étions en pleine mer, je me regardai dans le miroir en me rappelant de ma mère. Nous avions les mêmes cheveux noirs, le nez et les grands yeux identiques, mais la petite bouche rouge était celle de papa.
Arrivés en Egypte, une guerre eut lieu : la guerre des pyramides, avec trente mille soldats français contre quarante-cinq milles soldats musulmans et ce fut une grande victoire. Napoléon avait dit aux égyptiens qu’il était devenu musulman, ce qui avait facilité la tâche.
Nous étions allés visiter les pyramides, et un guide nous accompagnait, il nous avait expliqué que les pyramides étaient les tombeaux des pharaons, qui avaient été les souverains de l’Egypte durant l’Antiquité, et qu’il y avait plusieurs caveaux  qui faisait se perdre toute personne voulant piller le tombeau du pharaon. Le sarcophage d’un pharaon était en or, ainsi que son trône.
Nous entrâmes dans une pyramide, et je fus subjugué par l’architecture sublime et par les décorations de ce monument géant. On nous avait expliqué aussi que tous les biens du pharaon avaient été mis avec lui dans sa chambre funéraire.
Ensuite, nous étions allés voir les temples et les obélisques, et nous emportâmes avec nous quelques vestiges.
La guerre suivante était navale, celle d’Aboukir, et c’était une grande défaite contre les troupes anglaise car nous avions perdu près de six mille soldats. J’avais de la chance car j’étais l’un des mille soldats qui avait participé à cet affrontement naval mais qui n’étaient pas morts. Cependant je sentais que mon décès était très proche.
Une grande victoire avait rétabli notre force, dans la bataille de Jaffa. Nous avions essayé de rentrer en Palestine, mais une grande défaite devait marquer ce combat.
Après deux triomphes dans l’empire Autrichien, Napoléon Bonaparte s’était couronné Empereur sous le nom de Napoléon 1er, et avait couronné sa femme l’impératrice Joséphine. Et, après des dizaines de victoires, ce fut la défaite de Waterloo, qui mit fin aux rêves de Napoléon. Cette bataille sanglante fut notre plus grande défaite.
Je revins en France en moins de soixante-douze heures. En me voyant, maman, qui avait pensé que j’étais mort n’en crut pas ses yeux. De même mes frères, mes sœurs, mes oncles, mes tantes et mes cousins. Tous étaient venus me voir vivant et m’entendre raconter les aventures que j’avais vécues. Soudain, je me souvins de la pierre noire que j’avais trouvée en Egypte. Alors j’entrai dans ma chambre pour l’apporter et la montrer à maman qui, étonnée, me demanda ce que c’était. Je lui racontai ce qui m’était arrivé. Mais pendant mon récit, elle s’était endormie, ce qui était normal : il était cinq heures du matin!
Je me mis à contempler cette pierre et je distinguai trois langues : l’une d’elles était le grec, la deuxième était l’égyptien en écriture démotique, et la troisième langue ressemblait à l’écriture qu’on avait vue en Egypte. Ce devait être de l’égyptien en écriture hiéroglyphe.
Je sentis que je m’approchais du déchiffrement des hiéroglyphes, alors je demandai à mon frère Jacques-Joseph de me traduire le texte grec, ce qu’il fit.
A mon tour, je commençai à chercher partout des informations sur les hiéroglyphes, dans les livres, les encyclopédies, et les manuscrits, et j’appris que dans cette écriture, le nom d’un pharaon était toujours encadré.
Grâce à quoi, je reconnus le nom du pharaon Ptolémée que je comparai aux lettres grecques. C’était  le commencement du déchiffrement des hiéroglyphes. Je n’avais jamais imaginé que j’arriverai à résoudre l’énigme de l’écriture hiéroglyphe mais je m’étais souvenu d’un dicton de Christophe Colomb : «  On ne va jamais aussi loin que lorsqu’on ne sait pas ou l’on va. »

Je définis le système des hiéroglyphes ainsi : « C'est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot »…

                                                                      Sadir ABDULHADI
N.B : Ce récit n’est pas historique, des modifications ont eu lieu pour que le récit corresponde au sujet proposé